Marie d'en haut
... L'âme, l'esprit, le for intérieur, la substantifique moelle, appelez ça comme vous voulez. Moi j'appelle ça la caverne, parce qu'il faut une lumière au milieu du front pour la découvrir, un troisième oeil, comme les spéléologues, et parce qu'on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Elle peut révéler des trésors, ou être vide et froide. Il y a peu de gens qui ont une caverne intéressante à explorer"...
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Cet extrait de "Marie d'en haut" d'Agnès Ledig, que j'ai lu au coeur de la nuit m'a donné envie de le partager.
J'aime plonger dans les cavernes des yeux quand, par chance, j'en rencontre de belles.